Adegbola, A.A., Cox, G.F., Bradshaw, E.M., Hafler, D.A., Gimelbrant, A. et Chess, A. (2015). Expression monoallélique du gène de la parole FOXP2 humain.Actes de l'Académie nationale des sciences, 112,6848–6854.
Albert, M., Sparks, R. et Helm, N. (1973). Thérapie d'intonation mélodique pour l'aphasie.Archives de neurologie, 29,130–131.
American Speech-Language-Hearing Association. (2007a).Apraxie infantile de la parole[Énoncé de position]. Extrait dewww.asha.org/policy/
American Speech-Language-Hearing Association. (2007b).Apraxie infantile de la parole[Rapport technique]. Extrait dewww.asha.org/policy/
American Speech-Language-Hearing Association. (2016).Champ de pratique en orthophonie[Champ d'exercice]. Extrait dewww.asha.org/policy/
American Speech-Language-Hearing Association. (2023).Code d'éthique[Éthique]. Extrait dewww.asha.org/policy/
Association psychiatrique américaine. (2013).Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux(5e éd.). Washington, DC : auteur.
Bashina, V.M., Simashkova, N.V., Grachev, V.V. et Gorbachevskaya, N.L. (2002). Troubles de la parole et de la motricité dans le syndrome de Rett.Neurosciences et physiologie comportementale, 32 ans,323–327.
Bashir, A., Grahamjones, F., & Bostwick, R. (1984). Une méthode de thérapie tactile pour l'apraxie verbale développementale.Séminaires en parole et langage, 5,127–137.
Bornman, E., Alant, E., & Meiring, J. (2001). L'utilisation d'un dispositif de sortie vocale numérique pour faciliter le développement du langage chez un enfant présentant une apraxie développementale de la parole : une étude de cas.Handicap et Réadaptation, 23,623–634.
Boyar, F.Z., Whitney, M.M., Lossie, A.C., Gray, B.A., Keller, K., Stalker, H.J., . . . Driscoll, D.J. (2001). Une famille avec une duplication interstitielle d'origine grand-maternelle du 15q proximal.génétique clinique, 60 ans,421–430.
Brown, T., Cupido, C., Scarfone, H., Pape, K., Galea, V. et McComas, A. (2000). Apraxie développementale résultant d'une paralysie néonatale du plexus brachial.Neurologie, 55 ans,24–30.
Byrd, K., & Cooper, E. (1989). Caractéristiques de la parole apraxique chez les enfants bègues, apraxiques sur le plan du développement et parlant normalement.Journal des troubles de la fluidité, 14,215–229.
Crary, M.A., & Anderson, P. (1991, novembre).Parole et performances motrices dans l'apraxie développementale de la parole.Session technique présentée à la convention annuelle de l'American-Speech-Language-Hearing Association, Atlanta, GA.
Cumley, G.D., & Swanson, S. (1999). Options de communication supplétives et alternatives pour les enfants atteints d'apraxie développementale de la parole : trois études de cas.Communication Augmentative et Alternative, 15,110–125.
Dale, P.S., & Hayden, D.A. (2013). Traiter les sous-systèmes de la parole dans l'apraxie de la parole chez l'enfant avec une entrée tactile : l'approche PROMPT.Journal américain d'orthophonie, 22,644–661.
Davis, B., Jakielski, K. et Marquardt, T. (1998). Apraxie développementale de la parole : déterminants du diagnostic différentiel.Linguistique clinique et phonétique, 12,25–45.
Davis, B.L., & Velleman, S.L. (2000). Diagnostic différentiel et traitement de l'apraxie développementale de la parole chez les nourrissons et les tout-petits.Intervention nourrisson-enfant en bas âge: Le journal transdisciplinaire, 10,177–192.
Dewey, D., Roy, E.A., Square-Storer, P.A. et Hayden, D. (1988). Capacités praxiques des membres et orales des enfants présentant des déficits de séquençage verbal.Médecine du développement et neurologie de l'enfant, 30 ans,743–751.
Gildersleeve-Neumann, C., & Goldstein, B. (2014). Généralisation interlinguistique dans le traitement de deux enfants bilingues séquentiels espagnol-anglais présentant des troubles du son de la parole.Journal international d'orthophonie, 17,1–15.
Hall, P.K. (2000a). Une lettre au(x) parent(s) d'un enfant atteint d'apraxie développementale de la parole. Partie I : Caractéristiques de la parole du trouble.Services du langage, de la parole et de l'ouïe dans les écoles, 31,169–172.
Hall, P.K. (2000b). Une lettre au(x) parent(s) d'un enfant atteint d'apraxie développementale de la parole. Partie IV : Traitement du DAS.Services du langage, de la parole et de l'ouïe dans les écoles, 31,179–181.
Entrée. P.K., Jordan, L. et Robin, D. (1993).Apraxie développementale de la parole : théorie et pratique clinique. Austin, Texas : Pro-Ed.
Hayden, D.A., Eigen, J., Walker, A. et Olsen, L. (2010). PROMPT : Un modèle basé sur le toucher. Dans A. L. Williams, S. McLeod et R. J. McCauley (Eds.),Interventions pour les troubles des sons de la parole chez les enfants(pp. 453–474). Baltimore, MD : Brookes.
Helfrich-Miller, K.R. (1984). Thérapie d'intonation mélodique et enfants apraxiques sur le plan du développement.Séminaires en parole et langage, 5,119–126.
Helfrich-Miller, K.R. (1994). Thérapie d'intonation mélodique et enfants apraxiques sur le plan du développement.Cliniques des troubles de la communication, 4,175–182.
Hodson, B. (1989). La remédiation phonologique : une approche par cycles. Dans N.A. Creaghead, P.W. Newman et W. Secord (Eds.),Bilan et remédiation des troubles articulatoires et phonologiques(pp. 323–334), Columbus, Ohio : Merrill.
Hodson, B. (2010).Évaluer et améliorer les systèmes phonologiques des enfants : recherche et théorie à la pratique.Wichita, KS : PhonoComp.
Loi de 2004 sur l'amélioration de l'éducation des personnes handicapées. 108-446, 20 U.S.C. §§ 1400 et suiv. Extrait dehttps://sites.ed.gov/idea/
Iuzzini, J., & Forrest, K. (2010). Évaluation d'une approche de traitement combiné pour l'apraxie infantile de la parole.Linguistique clinique et phonétique,24,335–345.
En ligneIuzzini-Seigel, J. (2017). Évaluation de la parole chez les enfants atteints d'apraxie infantile de la parole.Perspectives sur les troubles de la communication neurogène, 2,47–60.
Kummer, A.W., Lee, L., Stutz, L.S., Maroney, A. et Brandt, J.W. (2007). La prévalence des caractéristiques de l'apraxie chez les patients atteints du syndrome vélocardiofacial par rapport aux autres populations de fentes.La fente palatine – Journal craniofacial, 44,175–181.[PB1]
Laffin, J.J., Raca, G., Jackson, C.A., Strand, E.A., Jakielski, K.J. et Shriberg, L.D. (2012). Nouveaux gènes candidats et régions pour l'apraxie infantile de la parole identifiés par hybridation génomique comparative.Génétique en médecine, 14,928–936.
Lai, C.S.L., Fisher, S.E., Hurst, J.A., Levy, E.R., Hodgson, S., Fox, M., . . . Monaco, A.P. (2000). La région SPCH1 sur le 7q31 humain : Caractérisation génomique de l'intervalle critique et localisation des translocations associées aux troubles de la parole et du langage.Journal américain de génétique humaine, 67,357–368.
Lai, C.S.L., Fisher, S.E., Hurst, J.A., Vargha-Khadem, F. et Monaco, P. (2001, 4 octobre). Un gène du domaine forkhead est muté dans un trouble sévère de la parole et du langage.naturel, 413,519–523.
Lewis, B.A., & Ekelman, B.L. (2007). Problèmes d'alphabétisation associés à l'apraxie infantile de la parole.Perspectives sur l'apprentissage et l'éducation aux langues, 14,10–17.
Lewis, B.A., Freebairn, L.A., Hansen, A.J., Iyengar, S.K. et Taylor, H.G. (2004). Suivi scolaire d'enfants atteints d'apraxie infantile de la parole.Services du langage, de la parole et de l'ouïe dans les écoles, 35,122–140.
Liégeois , F. , Baldeweg , T. , Connelly , A. , Gadian , D. G. , & Vargha-Khadem , F. (2003). Anomalies IRMf du langage associées à la mutation du gène FOXP2.Neurosciences de la nature, 6,1230–1237.
Marcus, G.F., & Fisher, S.E. (2003). FOXP2 en bref : Que peuvent nous dire les gènes sur la parole et le langage ?Tendances des sciences cognitives, 7,257–262.
Martin, V.C., Kubitz, K.R. et Maher, L.M. (2001). Thérapie d'intonation mélodique.Perspectives sur la neurophysiologie et les troubles neurogènes de la parole et du langage, 11,33–37.
Maas, E., Gildersleeve-Neumann, C.E., Jakielski, K.J. et Stoeckel, R. (2014). Protocoles d'intervention basés sur le moteur dans le traitement de l'apraxie infantile de la parole (CAS).Rapports actuels sur les troubles du développement, 1,197–206.
Maas, E., Robin, D.A., Austermann Hula, S.N., Freedman, S.E., Wulf, G., Ballard, K.J. et Schmidt, R.A. (2008). Principes de l'apprentissage moteur dans le traitement des troubles moteurs de la parole. Journal américain d'orthophonie, 17,277–298.
McCabe, P., Macdonald-D'Silva, A.G., van Rees, L.J., Ballard, K.J. et Arciuli, J. (2014). Traitement sensible à l'orthographe de la dysprosodie chez les enfants souffrant d'apraxie infantile de la parole à l'aide de l'intervention ReST.Neuroréhabilitation développementale, 17,137–146.
McCabe, P., Murray, E., Thomas, D. et Evans, P. (2017).Manuel du clinicien pour le traitement de transition rapide des syllabes (ReST). Camperdown, Victoria, Australie : L'Université de Sydney.
McCabe, P., Rosenthal, J.B. et McLeod, S. (1998). Caractéristiques de la dyspraxie développementale dans la population générale des troubles de la parole.Linguistique clinique et phonétique, 12, 105–126.
McCauley, R.J., & Strand, E.A. (1999). Traitement des enfants présentant un trouble phonologique avec atteinte motrice de la parole. Dans AJ Caruso & E.A. Strand (Eds.),Prise en charge clinique des troubles moteurs de la parole chez les enfants(pp. 187–208). New York, NY : Thieme.
McCauley, R.J., & Strand, E.A. (2008). Un examen des tests standardisés de la performance motrice orale et de la parole non verbale chez les enfants.Journal américain d'orthophonie, 17,81–91.
McLeod, S., Verdon, S. et le groupe d'experts international sur le discours multilingue des enfants. (2017). Tutoriel : Évaluation de la parole pour les enfants multilingues qui ne parlent pas la ou les mêmes langues que l'orthophoniste.Journal américain d'orthophonie, 26,691–708.
McNeill, B.C., Gillon G.T. et Dodd B. (2009a). Efficacité d'une approche de conscience phonologique intégrée pour les enfants atteints d'apraxie infantile de la parole (CAS).Thérapie du langage et de l'enseignement de l'enfant, 25 ans,341–366.
McNeill, B.C., Gillon, G.T. et Dodd, B. (2009b). Conscience phonologique et développement précoce de la lecture dans l'apraxie infantile de la parole (CAS).Journal international des troubles du langage et de la communication, 44,175–192.
McNeill, B.C., Gillon, G.T. et Dodd, B. (2010). Les effets à plus long terme d'une intervention de conscience phonologique intégrée pour les enfants souffrant d'apraxie infantile de la parole.Journal Asie-Pacifique de la parole, du langage et de l'audition, 13,145–161.
McNeil, M.R., Robin, D.A. et Schmidt, R.A. (1997). Apraxie de la parole : définition, différenciation et traitement. Dans MR McNeil (Ed.),Prise en charge clinique des troubles sensori-moteurs de la parole(pp. 311–344). New York, NY : Thieme.
Moriarty, B., & Gillon, G.T. (2006). Intervention de sensibilisation phonologique pour les enfants souffrant d'apraxie infantile de la parole.Journal international des troubles du langage et de la communication, 41,713–734.
Murray, E., McCabe, P. et Ballard, K.J. (2014). Une revue systématique des résultats du traitement pour les enfants atteints d'apraxie infantile de la parole. Journal américain d'orthophonie, 23, 486–504.
Murray, E., McCabe, P. et Ballard, K.J. (2015). Un essai contrôlé randomisé pour les enfants souffrant d'apraxie de la parole chez l'enfant comparant le traitement de transition rapide des syllabes et le programme Nuffield Dyspraxia - Troisième édition.Journal de recherche sur la parole, le langage et l'audition, 58,669–686.
Murray, E., McCabe, P., Heard, R. et Ballard, K.J. (2015). Diagnostic différentiel des enfants suspects d'apraxie infantile de la parole.Journal de recherche sur la parole, le langage et l'audition, 58,43–60.
Namasivayam, A.K., Pukonen, M., Goshulak, D., Hard, J., Rudzicz, F., Rietveld, T., . . . van Lieshout, P. (2015). Intensité du traitement et apraxie infantile de la parole.Journal international des troubles du langage et de la communication, 50,529–546.
Overby, M., & Caspari, S. (2015). Caractéristiques de la volubilité, des consonnes et des syllabes chez les nourrissons et les tout-petits diagnostiqués plus tard avec une apraxie infantile de la parole : une étude pilote.Journal des troubles de la communication, 55,44–62.
Overby, M., Caspari, S. et Schreiber, J. (en révision). Volubilité et émergence de consonnes chez les nourrissons et les tout-petits diagnostiqués plus tard avec CAS, SSD et développement typique : une analyse vidéo rétrospective. Manuscrit soumis pour examen.
Pascoe, M., Stackhouse, J. et Wells, B. (2006).Difficultés d'élocution persistantesdansdiscours d'enfantset les difficultés d'alphabétisation : Livre 3.West Sussex, Angleterre : Whurr.
Université d'État de Portland (n.d.).Considérations lors du travail avec un enfant bilingue atteint de SAE(Manuscrit non publié).Extrait dehttps://www.pdx.edu/multicultural-topics-communication-sciences-disorders/considerations-when-working-with-a-bilingual-child-with-cas
Preston, J.L., Brick, N. et Landi, N. (2013). Traitement par biofeedback par ultrasons pour l'apraxie persistante de la parole chez l'enfant.Journal américain d'orthophonie, 22,627–643.
Preston, J.L., Leece, M.C. et Maas, E. (2016, 30 août). Traitement intensif avec rétroaction visuelle par ultrasons pour les erreurs sonores de la parole dans l'apraxie infantile.Frontières des neurosciences humaines, 10,440.http://dx.doi.org/10.3389/fnhum.2016.00440
Preston, J.L., Leece, M.C., McNamara, K. et Maas, E. (2017). Pratique variable lors du traitement par rétroaction visuelle par ultrasons de l'apraxie de la parole chez l'enfant.Journal américain d'orthophonie, 26,840–852.
Preston, J.L., Maas, E., Whittle, J., Leece, M.C. et McCabe, P. (2016). Acquisition limitée et généralisation des rhotiques avec rétroaction visuelle échographique dans l'apraxie infantile.Linguistique Clinique & Phonétique, 30,363–381.
Prezas, R.F., & Hodson, B.W. (2010). L'approche de remédiation phonologique des cycles. Dans A. L. Williams, S. McLeod et R. J. McCauley (Eds.),Interventions pour les troubles des sons de la parole chez les enfants(pp. 137–158). Baltimore, MD : Brookes.
[PB1] Reuter, M.S., Riess, A., Moog, U., Briggs, T.A., Chandler, K.E., Rauch, A., . . . En ligneZweier, C. (2017). Les variantes de FOXP2 chez 14 personnes atteintes de troubles développementaux de la parole et du langage élargissent le spectre mutationnel et clinique.Journal de génétique médicale, 54,64–72.
Scheffer, I.E., Jones, L., Pozzebon, M., Howell, R.A., Saling, M.M. et Berkovic, S.F. (1995). Epilepsie rolandique autosomique dominante et dyspraxie de la parole : un nouveau syndrome avec anticipation.Annales de neurologie, 38,633–642.
Shriberg, L.D., Aram, D. et Kwiatkowski, J. (1997). Apraxie développementale de la parole : I. Perspectives descriptives et théoriques.Journal de recherche sur la parole, le langage et l'audition, 40,273–285.
Shriberg, L.D., Ballard, K.J., Tomblin, J.B., Duffy, J.R., Odell, K.H. et Williams, C.A. (2006). Caractéristiques de la parole, de la prosodie et de la voix d'une mère et de sa fille avec une translocation 7;13 affectant FOXP2.Journal de recherche sur la parole, le langage et l'audition, 49,500–525.
Shriberg, L.D., Campbell, T.F., Karlsson, H.B., Brown, R.L., McSweeny, J.L. et Nadler, C.J. (2003). Un marqueur diagnostique de l'apraxie infantile de la parole : le rapport de stress lexical.Linguistique clinique et phonétique, 17,549–574.
Shriberg, L.D., & McSweeny, J.L. (2002).Classification et classification erronée de l'apraxie infantile de la parole(Rapport technique n° 11). Madison, WI : Centre Waisman, Université du Wisconsin.
Shriberg, L.D., Paul, R., Black, L.M. et van Santen, J.P. (2011). L'hypothèse de l'apraxie de la parole chez les enfants atteints de troubles du spectre autistique.Journal de l'autisme et des troubles du développement, 41,405–426.
Shriberg, L.D., Potter, N. et Strand, E.A. (2011). Prévalence et phénotype de l'apraxie infantile de la parole chez les jeunes atteints de galactosémie.Journal de recherche sur la parole, le langage et l'audition, 54,487–519.
Shriberg, L.D., Strand, E.A., Fourakis, M., Jakielski, K.J., Hall, S.D., Karlsson, H.B., . . . Wilson, D.L. (2017). Un marqueur diagnostique pour discriminer l'apraxie infantile de la parole du retard de la parole : I. Développement et description du marqueur de pause.Journal de recherche sur la parole, le langage et l'audition, 60(Suppl.),S1096–S1117.
En ligneSkinder-Meredith, A. (2001). Diagnostic différentiel : Apraxie développementale de la parole et retard phonologique.Nouvelles de la communication augmentée, 14(2–3),5–8. Extrait dehttp://www.augcominc.com/newsletters/index.cfm/newsletter_30.pdf
Spinelli, M., Rocha, A., Giacheti, C., & Richieri-Costa, A. (1995). Difficultés à trouver ses mots, paraphasie verbale et dyspraxie verbale chez dix personnes atteintes du syndrome de l'X fragile.Journal américain de génétique médicale, 60,39–43.
Strand, E. (2017, mars). Évaluation de l'apraxie : lorsqu'un trouble de la parole et des sons est grave, comment savoir s'il s'agit d'une apraxie infantile de la parole ?Le chef de l'ASHA, 22 ans(3),50–58.
Strand, E.A., & Debertine, P. (2000). L'efficacité de l'intervention de stimulation intégrale avec apraxie développementale de la parole.Journal of Medical Speech-Language Pathology, 8,295–300.
Strand, E.A., & McCauley, R.J. (2019).Manuel d'évaluation dynamique des compétences motrices de la parole (DEMSS).Baltimore, MD : Brookes.
Strand, E.A., McCauley, R.J., Weigand, S., Stoeckel, R. et Baas, B. (2013). Une évaluation de la parole motrice pour les enfants souffrant de troubles graves de la parole : preuves de fiabilité et de validité. Journal de recherche sur la parole, le langage et l'audition, 56,505–520.
Strand, E.A., Shriberg, L.D. et Campbell, T.F. (2003). Apraxie de la parole chez l'enfant : marqueurs diagnostiques suggérés pour le jeune enfant. Dans L. D. Shriberg & T. F. Campbell (Eds.),Actes du symposium 2002 sur l'apraxie de la parole chez l'enfant(pp. 75–79). Carlsbad, Californie : La Fondation Hendrix.
Strand, E.A., & Skinder, A. (1999). Traitement de l'apraxie développementale de la parole : méthodes de stimulation intégrale. Dans A. Caruso & E. Strand (Eds.),Prise en charge clinique des troubles moteurs de la parole chez les enfants(pp. 109–148). New York, NY : Thieme.
Strand, E.A., Stoeckel, R. et Baas, B. (2006). Traitement de l'apraxie sévère de la parole chez l'enfant : une étude sur l'efficacité du traitement.Journal d'orthophonie médicale, 14,297–307.
Thomas, D.C., McCabe, P. et Ballard, K.J. (2014). Traitement des transitions rapides des syllabes (ReST) pour l'apraxie de la parole chez l'enfant : l'effet d'une fréquence de dose plus faible.Journal des troubles de la communication, 51,29–42.
Thomas, D.C., McCabe, P., Ballard, K.J. et Lincoln, M. (2016). Prestation par télésanté du traitement Rapid Syllable Transitions (ReST) pour l'apraxie de la parole chez l'enfant.Journal international des troubles du langage et de la communication, 51,654–671.
Thoonen, G., Maassen, B., Wit, J., Gabreëls, F., & Schreuder, R. (1996). L'utilisation intégrée des tâches de performance maximale dans les évaluations diagnostiques différentielles chez les enfants atteints de troubles moteurs de la parole.Linguistique clinique et phonétique, 10,311–336.
Thoonen, G., Maassen, B., Gabreëls, F., & Schreuder, R. (1999). Validité des tâches de performance maximale pour diagnostiquer les troubles moteurs de la parole chez les enfants.Linguistique clinique et phonétique, 13, 1–23.
Tomblin, J.B., O'Brien, M., Shriberg, L.D., Williams, C., Murray, J., Patil, S., . . . En ligneBallard, K. (2009). Caractéristiques du langage chez une mère et sa fille d'une translocation du chromosome 7;13 impliquant FOXP2.Journal de recherche sur la parole, le langage et l'audition, 52,1157–1174.
Velleman, S. L. (2003).Apraxie infantile de la parole : guide de ressources. New York, NY : Thomson.
Velleman, S.L., Huffman, M.J. et Mervis, C.B. (2012, juin).Relations entre la parole et les performances motrices de la parole chez les enfants atteints du syndrome de duplication 7q11.23. Communication présentée à l'International Child Phonology Conference, Minneapolis, MN.
Velleman, S.L., & Strand, K. (1994). Dyspraxie verbale développementale. Dans J. E. Bernthal & N. W. Bankson (Eds.),Phonologie de l'enfant : caractéristiques, évaluation et intervention auprès de populations particulières(pp. 110–139). New York, NY : Thieme.
Warren, S.F., Fey, M.E. et Yoder, P.J. (2007). Recherche sur l'intensité du traitement différentiel : un chaînon manquant pour créer des interventions de communication efficaces de manière optimale.Revues de recherche sur le retard mental et les troubles du développement, 13,70–77.
Williams, P., & Stackhouse, J. (1998). Compétences diadochocinétiques : performances normales et atypiques chez les enfants âgés de 3 à 5 ans.Journal international des troubles du langage et de la communication, 33,481–486.
Williams, P., & Stackhouse, J. (2000). Rythme, exactitude et cohérence : Performances diadochocinétiques de jeunes enfants se développant normalement.Linguistique clinique et phonétique, 14,267–293.
Williams, P., & Stephens, H. (2010). Le programme de dyspraxie du Nuffield Center. Dans A. L. Williams, S. McLeod et R. J. McCauley (Eds.),Interventions pour les troubles des sons de la parole chez les enfants(p. 159–178). Baltimore, MD : Brookes.
Organisation Mondiale de la Santé. (2001).Classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé.Genève, Suisse : Auteur.
Yavas, M., & Goldstein, B. (1998). Évaluation phonologique et traitement des locuteurs bilingues.Journal américain d'orthophonie, 7,49–60.
Yorkston, K.M., Beukelman, D.R., Strand, E.A. et Hakel, M. (2010).Prise en charge des troubles moteurs de la parole chez l'enfant et l'adulte. Austin, Texas : Pro-Ed.
Yorkston, K.M., Strand, E.A. et Kennedy, M.R. (1996). Compréhensibilité du discours dysarthrique : implications pour l'évaluation et la planification du traitement.Journal américain d'orthophonie, 5,55–66.
Zeesman, S., Nowaczyk, M.J., Teshima, I., Roberts, W., Cardy, J.O., Brian, J.,. . . . . . . . . Scherer, S.W. (2006). Trouble de la parole et du langage et dyspraxie oromotrice due à la suppression de 7q31 impliquant FOXP2Journal américain de génétique médicale partie A, 140,509–514.
FAQs
Apraxie de la parole chez l'enfant? ›
L'apraxie verbale de l'enfant (AVE) affecte sa capacité à reproduire des sons et des syllabes avec précision et cohérence, et à formuler des mots et des phrases précis(es) avec un rythme de parole correct. Il s'agit d'une maladie rare, qui ne touche que 0,1 % de la population globale.
Quels sont les symptômes de la dyspraxie verbale ? ›L'enfant qui présente une dyspraxie verbale a de la difficulté à planifier et à programmer tous les mouvements que doivent faire sa langue, ses lèvres et ses cordes vocales pour émettre les sons correctement. C'est comme s'il avait de la difficulté à envoyer les bonnes instructions de mouvements à sa bouche.
Qu'est-ce que la dyspraxie verbale ? ›La dyspraxie est l'incapacité de l'enfant à planifier et contrôler ses mouvements. Dans le cas d'une dyspraxie orale, il s'agit de l'inaptitude à synchroniser correctement les mouvements des articulateurs nécessaires à la formation de la parole : la langue, les lèvres, le palais, les mâchoires et les cordes vocales.
Quelles peuvent être les causes d'un trouble du langage ? ›À ce jour, le trouble du langage n'a pas de cause clairement identifiée, mais peut être : Associé à une condition biomédicale connue (ex : syndrome génétique, trouble du spectre de l'autisme, surdité, AVC, etc. ) On parle alors d'un trouble du langage associé à X. On parle alors d'un trouble développemental du langage.
Comment identifier les troubles du langage ? ›L'orthophoniste établit un bilan de dépistage de troubles du langage grâce à des tests spécifiques. L'évaluation porte sur l'articulation, la capacité à répéter voyelles, syllabes, mots de difficulté croissante et l'aptitude à s'exprimer correctement.
Quelle est la différence entre la dysphasie et la dyspraxie ? ›Il s'applique à la lecture. Mais il en existe d'autres : la dysphasie concerne la parole ; la dyspraxie, la coordination et le geste; la dyscalculie, le calcul ; la dysorthographie, l'orthographe. Tous ces troubles peuvent conduire des enfants, tout aussi intelligents que leurs copains, à souffrir à l'école.
Quels sont les types de dyspraxie ? ›- La dyspraxie constructive. Difficultés à assembler (legos, cubes, bricolage, puzzles…).
- La dyspraxie visuo-spatiale. ...
- La dyspraxie idéatoire. ...
- La dyspraxie idéomotrice. ...
- La dyspraxie oro-faciale (gestes bucco-phonatoires)
Le sigmatisme est une manifestation courante des troubles orofaciaux myofonctionnels. Il désigne un positionnement inadéquat de la langue qui affecte la production de certains sons.
C'est quoi un trouble phonologique ? ›Le trouble phonologique est un trouble du développement des sons de la parole qui affecte la prononciation des sons et des mots. Pour parler d'un trouble phonologique, seule la prononciation doit être affectée dans le langage de l'enfant.
Comment soigner le trouble de la parole ? ›Traitement de la dysarthrie
L' orthophonie est utile chez certaines personnes atteintes de dysarthrie. Cette thérapie peut impliquer des exercices respiratoires et musculaires et la répétition des mots ou des phrases.
Comment soigner un trouble de langage ? ›
Le traitement des troubles du langage oral de l'enfant repose essentiellement sur la rééducation orthophonique, très souvent efficace et suffisante. D'autres professionnels de santé peuvent toutefois être associés, en fonction du type de trouble et de sa sévérité.
Qui soigne les troubles du langage ? ›L'orthophoniste est un professionnel de santé, agissant uniquement sur la prescription des médecins généralistes, spécialisé dans les déficiences du langage, de la prononciation et plus globalement, de la communication orale et écrite.
Quand s'inquiéter pour le langage ? ›Toutefois, un enfant présente probablement des difficultés de langage (anciennement appelées retard de langage) s'il a plus de 2 ans et qu'il ne comprend pas bien ce qu'on lui dit (ex. : les questions et les consignes) ou qu'il parle moins ou moins clairement que la grande majorité des enfants du même âge.
Comment débloquer la parole ? ›- Parlez de ce que vous faites, tout en utilisant des phrases courtes.
- Lisez des livres ensemble.
- Portez attention à ce qu'il dit plutôt qu'à sa prononciation.
- Ne refusez pas de lui donner un objet parce qu'il ne dit pas le nom de l'objet.
La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé praxie). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité. La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7 % des enfants de 5-11 ans.
Quel âge diagnostic dysphasie ? ›La dysphasie – aussi appelée trouble primaire du langage – ne peut être détectée officiellement avant l'âge de 4 ans, car avant cet âge, il demeure difficile de prédire que les difficultés persisteront dans le temps.
Quel est le trouble dys le plus grave ? ›Innée et souvent durable, la dysphasie fait partie des troubles les plus graves. Et ce, parce qu'elle touche directement la base fondamentale de tout apprentissage : le langage. Si elle n'est pas décelée et traitée à temps, c'est-à-dire aux environs de 3 à 5 ans, elle risque de dégénérer en dyslexie.
Comment rééduquer la dysphasie ? ›La rééducation orthophonique
Généralement, lorsque les conséquences de la dysphasie enfant sont graves, le spécialiste en trouble du langage oral et écrit préconise deux séances par semaine pendant des mois. La rééducation orthophonique ne permet pas de guérir de la dysphasie.
Quand évoquer une dyspraxie ? Suspecté avant 4 ans au regard des signes détaillés plus haut, le diagnostic de certitude ne peut généralement être fait avant 5 ans. Il requiert une évaluation développementale complète.
Est-ce que la dyspraxie est un handicap ? ›Bien que reconnue comme handicap par la circulaire interministérielle n° 2002-024 du 31 janvier 2002, la dyspraxie se traduit par un trouble de la planification et de la coordination nécessaire à l'exécution d'une action volontaire.
Quel test pour la dyspraxie ? ›
Un test orthoptique sera aussi réalisé afin de déterminer s'il existe des difficultés de balayage visuel. L'enfant sera vu par un neuropédiatre pour poser ensuite le diagnostic permettant de dire s'il s'agit d'une dyspraxie.
Quel sport pour la dysphasie ? ›Le karaté est un sport qui combine mémorisation, concentration et coordination des mouvements, tout comme le dessin. Les deux sont une aide précieuse pour les enfants atteints de Dysphasie, un « must » pour les enfants atteints d'un trouble du langage oral.
Est-ce que la dysphasie est une maladie ? ›La dysphasie est un trouble spécifique du développement de la parole et du langage entrainant l'échec d'une acquisition normale du langage réceptif et/ou expressif et ne résultant pas d'une déficience intellectuelle, ni d'un déficit sensoriel, ni d'un trouble autistique de la communication et de la relation.
C'est quoi le Schlintement ? ›Le schlintement, encore appelé sigmatisme latéral, résulte d'une « incontinence » du flux d'air liée à une configuration de la langue atypique. Au lieu d'être conduit dans le canal médian formé par les muscles de la langue, l'air est expulsé latéralement avec une forme de langue à tendance plutôt convexe.
Quelles sont les causes du Begaiement ? ›Le bégaiement est un trouble de la parole qui se caractérise par des répétitions fréquentes de parties de mots (« au-au-au-auto »), l'étirement de sons (« avvvvvion ») et des blocages sur des sons (« c… amion »). La cause la plus fréquente du bégaiement est la génétique, et non le tempérament de l'enfant ou le stress.
C'est quoi le défaut d'articulation ? ›Le trouble d'articulation ou « sigmatisme » est un trouble du développement des sons de la parole qui perturbe l'articulation de certains sons, le plus souvent les sons «s», «z», «ch» ou «j» et parfois les sons «t», «d», «n» et «l». Une personne ayant un sigmatisme réussit habituellement à bien se faire comprendre.
Quels sont les troubles de la parole ? ›Les troubles du langage oral correspondent à un trouble de l'articulation, à un retard de parole ou de langage, à un bégaiement ou à une dysphasie. Parfois associés à d'autres troubles, ils peuvent être à l'origine de difficultés scolaires et perturber le comportement de l'enfant.
Comment les dyslexiques voient les mots ? ›Les personnes dyslexiques ne voient souvent pas les mots ou les lettres dans leur forme originale, mais les voient plutôt inversés, à moitié, à l'envers, mélangés, enchevêtrés, en mouvement et flous.
Quelles sont les 5 astuces à adaptées aux élèves dyslexiques ? ›- Oraliser les consignes écrites.
- Eviter de faire lire l'élève haute voix devant la classe.
- Limiter la taille des textes à lire.
- Lui apprendre à surligner les mots clés du texte.
- Lui laisser le temps dont il a besoin pour effectuer son travail.
Par exemple, en ce qui concerne le « s », l'enfant qui zozote produit ce son, et non un autre, mais il avance trop sa langue pour le prononcer. Cette difficulté se règle souvent bien avec l'aide d'un orthophoniste, généralement à partir de 6 ans.
C'est quoi la logorrhée ? ›
Trouble du langage caractérisé par un flot de paroles, incoercible et rapide, en particulier au cours de la manie. 2. Verbosité intarissable.
Quels sont les symptômes de la dysarthrie ? ›- Troubles de l'élocution.
- Discours lent.
- Incapacité de parler fort.
- Un discours rapide qui est difficile à comprendre.
- Voix nasale ou rauque.
- Rythme de discours inégal ou anormal.
- Volume de parole inégal.
- Discours monotone.
Un choc ou un traumatisme psychologique, qui « bloque » l'enfant et le développement de son langage ; Un problème de santé plus grave (traumatisme crânien ou cérébral, épilepsie, sclérose en plaques, etc.).
C'est quoi la dysgraphie ? ›La dysgraphie est un trouble qui affecte l'écriture et son tracé (du grec dus- difficulté et graphein- écriture). L'écriture manuelle est soit trop lente, soit illisible, soit fatigante, demandant dans tous les cas un effort cognitif majeur.
C'est quoi la dysorthographie ? ›« La dysorthographie, ou trouble spécifique d'apprentissage de l'orthographe, peut se manifester sans trouble apparent de la lecture. Elle se caractérise par des difficultés importantes à produire les mots écrits avec précision ».
Qu'est-ce que c'est la dyscalculie ? ›Trouble du calcul ou Trouble d'apprentissage en mathématique. La dyscalculie est un trouble spécifique des apprentissages touchant la sphère de la numératie : comprendre, utiliser, interpréter ou communiquer à l'aide des nombres.
Est-ce qu'un dyspraxique peut conduire ? ›Les adultes dyspraxiques peuvent obtenir une Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH) auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH). ,sac sed trapulp al snaD • l'apprentissage de la conduite est possible à condition de mettre en place quelques adaptations.
Comment fonctionne le cerveau d'un dyspraxique ? ›Une communication cérébrale mal aiguillée
Le dyspraxique n'arrive pas à automatiser les gestes, des gestes banals pour les autres enfants. Leur cerveau n'intègre pas la séquence motrice qui introduit l'automatisation du geste. Une praxie suit un processus cérébral précis.
La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé praxie). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité. La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7 % des enfants de 5-11 ans.
Est-ce que la dyspraxie se soigne ? ›Est-ce que la dyspraxie se soigne ? Un point essentiel est à retenir : la dyspraxie ne se soigne pas. La mise en place d'un protocole multidisciplinaire peut permettre de réduire les difficultés, mais celles-ci ne disparaîtront pas totalement.
Quel sport pour les dyspraxique ? ›
Les sports de combat, qu'il s'agisse de judo, d'arts martiaux ou de lutte, permettent à votre enfant de développer son endurance, sa souplesse, sa force… Très bénéfiques pour l'enfant dyspraxique, elles favorisent la gestion et la coordination des gestes de manière naturelle, car fait appel à son instinct de survie.
Comment pense un dyspraxique ? ›Les gestes d'un enfant dyspraxique sont lents et maladroits et souvent l'enfant a également des troubles neuro-visuels qui vont rendre difficile le fait de fixer son regard. Parfois la dyspraxie touche la sphère oro-faciale, entraînant alors des difficultés d'articulation, des retards de langage.
Est-ce que la dyspraxie est génétique ? ›Il n'y a pas de cause génétique connue et la dyspraxie peut être reconnue comme un trouble du développement n'ayant pas de cause identifiée. Cette absence de cause identifiée rend encore plus compliqué le diagnostic qui devrait pourtant être le plus précoce possible.
Qui fait le diagnostic de la dyspraxie ? ›- On peut s'adresser à un neurologue (qui pourra demander une IRM, un EEG … selon les cas).
- On peut s'adresser à un neuropsychologue pour avoir une évaluation neuro-psychologique et ainsi déterminer le type de dyspraxie en cause.